vendredi 21 juin 2013

L'entrainement des ondes cérébrales

L'entrainement des ondes cérébrales


La synchronisation des ondes cérébrales, aussi appelé entraînement des ondes cérébrales(brainwave entrainment), est une réponse naturelle où les fréquences similaires ont tendance à se synchroniser avec l’autre. L’entraînement est donc un principe de physique.
Le cerveau émet une charge électrique entre ses cellules, les neurones, en réponse à un stimulus extérieur des sens : les oreilles, les yeux, ou autres sens. Cette charge électrique peut être mesurée par la connexion d’électrodes sur le cuir chevelu (EEG). Si le stimulus est sonore et rythmique, comme la musique avec des sons isochrones, le rythme est produit dans le cerveau sous forme d’impulsions électriques. Si le rythme devient cohérent et assez rapide il ressemble aux ondes cérébrales naturelles. Le cerveau réagit alors en synchronisant ses impulsions propres au rythme des sons isochrones, des fréquences utilisées et de la musique. Cette réponse est appelée la réponse en fréquence (FFR). Cette réponse s’apparente à la fréquence de la chimie, de la neurologie, l’astronomie, la pharmacologie et la biologie.
En 1656, un scientifique néerlandais nommé Christian Huygens a travaillé sur la conception de l’horloge à pendule. Il a constaté que si il mettait deux horloges côte à côte, elles allaient lentement se synchroniser !
Un autre exemple est que si un diapason qui produit une fréquence de 500 Hz est frappé et par la suite est amené près d’un autre diapason 500Hz, la seconde fourche commencera à vibrer ainsi. La première fourche, dit-on va entraîner la seconde fourche. Bien que la découverte des ondes cérébrales est relativement récente, l’entraînement du cerveau existe depuis des milliers d’années à travers les chants des tribus, les battements de tambour, les danses…
Intentionnellement, changer le niveau des ondes cérébrales grâce à l’entraînement a un certain nombre d’avantages. Si une personne a des troubles du sommeil, entraînant son cerveau à l’étapeThêta conduit à la détente. Les gens qui ont le trouble déficitaire de l’attention peuvent bénéficier d’amélioration en atteignant la phase Bêta. L’état de la méditation ou d’une profonde relaxation peut être atteint rapidement si le cerveau est entraîné à l’état Alpha. L’état Alpha est également propice à l’apprentissage. Quand un sujet est hypnotisé, il est habituellement à l’état Alpha.
http://www.mental-waves.com/?ap_id=shapay


dimanche 16 juin 2013

Parents, vous êtes la ressource et l'avenir de vos enfants !

Parents, vous êtes la ressource et l'avenir de vos enfants !


Parents, vous êtes la ressource et l’avenir de vos enfants !


UnknownParents, votre comportement sur les premiéres années de vie de vos enfants est déterminant sur leur bien-être et leur réussite dans leur future vie d’adulte, plus que la sociétè souvent tenue pour seule responsable ou le systéme d’éducation nationale. Dès l’instant où nous venons au monde, nous recevons des informations identitaires. Ces informations peuvent être de connotation valorisante ou tout à fait le contraire, exprimer le rejet, le dégoût ou l’indifférence. L’éducation que nous recevons constitue le ciment de notre devenir. Certains spécialistes du développement psychoaffectif affirment que la personnalité se définit avant l’âge de 6 à 7 ans.
Ainsi, un parent qui valorise son enfant le félicite chaque fois qu’il progresse, l’encourage devant la difficulté, l’aide à faire face quand il échoue et lui permet ainsi de devenir un véritable gagnant devant la vie. Normalement, si rien n’interfère, l’enfant sera capable de croître avec un sentiment bien ancré en lui de confiance et d’auto-estime. Il sentira qu’il peut faire face à la difficulté parce que ses parents l’auront aidé dans ce sens.
Même s’il apparaît évident qu’un enfant rejeté par ses parents, considéré comme incapablebon à rien ne devienne plus facilement fragile, manquant de confiance en lui ; parfois, cette attitude négative infligée par les parents peut provoquer l’effet contraire. L’enfant va chercher à se frayer un chemin vers la réussite pour justement prouver qu’il n’a rien à voir avec ce qu’on lui a fait remarquer.
En fait, soit l’enfant a répondu inconsciemment que ces parents ont raison, et dans ce cas, il va vraiment devenir un perdant, soit il s’oppose avec force cette identité et dans ce cas, il devient capable de se dépasser et cherche à prouver que ses parents ont tort.
Bien sûr, on ne sait pas encore parfaitement pourquoi ni comment la nature profonde d’un être l’influence dans un sens ou dans l’autre. Mais ce que l’on sait avec certitude, c’est que la manière dont il va recevoir ces informations depuis son enfance va l’influencer définitivement.
Un adulte à forte personnalité avec un tempérament de gagnant, pourra être amené à faire un travail de développement personnel pour maîtriser son impulsivité, sa colère et sa hargne ou son « fort caractére » souvent appelé « sale caractére. » Tandis qu’une personne au tempérament faible, perdant, elle devra apprendre à se valoriser et à s’accepter.
Le développement personnel propose par des moyens appropriés des techniques de revalorisation de soi. Parmi ces techniques, on trouve le théâtre, la thérapie brève, l’analyse transactionnelle, la sophrologie et un domaine que j’apprécie particulierement, la PNL. Soyez conscients que c’est vous qui  préparez l’avenir de vos enfants, mais que vous êtes aussi, vous même l’enfant de parents qui ne savaient  surement pas. Alors, si aujourd’hui vous rencontrez certaines difficultés avec la vie, si vous manquez de confiance en vous, si vous considérez que vous n’avez jamais de chance, que ce n’est pas pour vous, que c’est comme ça, et puis c’est tout,que personne ne vous aime, vous devez savoir que vous pouvez trouvez de l’aide avec des résultats rapide et flagrant sans avoir à vous coucher sur un canapé de psy pendant des années. la PNL est un moyen trés efficace pour retrouver un équilibre entre votre for intérieur et votre vie, votre relation avec les autres, traiter vos manques de confiance en vous, vos phobies, tourner un page, les exemples sont trés nombreux et les résultats sont trés souvent immédiats.

vendredi 14 juin 2013

Le bonheur: la quête d'une vie!

Le bonheur: la quête d'une vie!


Le bonheur: la quête d’une vie!

a-la-rech-du-bonheur-la-pense-positive1Le bonheur est le degré selon lequel une personne évalue positivement la qualité de sa vie dans son ensemble. Nous cheminons vers le bonheur lorsque nous croyons faire suffisamment de progrès vers la réalisation de ce qui nous tient à cœur. J’aime bien cette suggestion qui inclue une évaluation subjective de ce qui peut être suffisant, la notion de mouvement, et implicitement la constatation qu’il nous faudra une direction, un but, un engagement vers quelque chose qui nous permettra d’évaluer la direction que prend notre vie. Les spécialistes  suggèrent que nous ne puissions faire du bonheur le but de notre vie: il est un effet secondaire d’une bonne utilisation de nos capacités naturelles et de tendre vers autre chose que notre simple bien-être.
Blondin (1983) cite un pharaon égyptien qui définit le secret du bonheur sous forme d’une métaphore: marcher dans la nature à la rencontre de nos tendresses. Ici encore, cette notion de mouvement, dans un contexte naturel, vers ce qui nous tient à cœur.
Les gens heureux se caractérisent par leur estime d’eux-mêmes, leur croyance au contrôle sur leur vie, leur optimisme, leur foi religieuse et leur engagement. Les individus appartenant à des groupes désavantagés maintiennent leur estime d’eux-mêmes en valorisant les choses dans lesquelles ils excellent, en faisant des comparaisons à l’intérieur de leur propre groupe et en attribuant leurs problèmes à des causes externes ou aux préjugés.
La richesse est comme la santé: son absence engendre la misère; sa possession ne garantit pas le bonheur. Le bonheur est subjectif. Les facteurs objectifs ou les indices sociaux du bonheur, dont l’âge, le sexe, l’ethnie, la religion, l’éducation, le revenu et l’emploi n’expliquent que 3% à 5% de la variance des mesures de bonheur. Cet énoncé est exact en ce qui a trait au revenu pourvu qu’il permette de combler les besoins de subsistance. En effet, point de bonheur possible quand les besoins primaires de subsistance ne sont pas comblés.
Même les gens heureux se plaignent. La moitié des sujets qui disent qu’ils sont satisfaits de leur vie dans son ensemble déclare également des inquiétudes variées. Bonheur et plaintes ne s’excluent pas mutuellement. On peut être conscient de manques sérieux. Les deux découlent d’une réflexion sur la vie. C’est seulement à travers la prise de conscience réaliste des douleurs et des dangers que l’on fait face efficacement aux problèmes de la vie. Les personnes qui souffrent de difficultés récurrentes ou chroniques ont besoin qu’on les aide à composer avec ce qu’ils sont, et à faire le deuil d’un certain type de bonheur et d’un certain type de cheminement.
Nous nous inspirerons du magazine  Fordyce de 1997 ( revue Québécoise de psychologie) pour réviser 14 points importants à cultiver dans notre éducation continue au bonheur. Rappelons-nous que nous sommes tous des étudiants à l’école du bonheur.
1. Soyez plus actif et demeurez occupé.
Les activités les plus efficaces dans la quête du bonheur sont ceux qui permettent de s’y absorbés, qui sont agréables, significatifs, sociaux, variés et/ou nouveaux et valorisants. Cela vaut la peine d’explorer plusieurs activités afin d’en avoir un éventail à choisir une fois rendu à un âge avancé.
  2. Passez plus de temps à socialiser.
La télévision ne peut pas satisfaire notre besoin de contacts avec un autre humain. Nous avons besoin de voir un visage d’être humain qui nous regarde, nous donne tout son attention et reconnaît notre présence. Cela vaut la peine de se faire un réseau d’amis qui seront encore là au moment où on en aura besoin.
 3. Soyez productif dans une activité significative.
Produire quelque chose de significatif ne signifie pas nécessairement qu’il faille le faire dans le cadre d’un travail. Pensons à toutes les formes de bénévolat, de services que l’on rend aux gens importants de son entourage. C’est là que prend tout son importance dans la qualité du lien avec les petits enfants à qui on peut faire du bien.
 4. Organisez-vous.
Que d’énergie de perdue dans le chaos ! Et il faut mettre une quantité phénoménale d’énergie pour s’y retrouver avant même de se mettre en mouvement. En planifiant à l’avance, en conservant un certain ordre dans notre vie, il est plus facile de prioriser et de fragmenter.
 5. Arrêtez de vous tracasser.
Facile à dire. On peut constater qu’il nous arrive de perdre notre temps à nous torturer en remâchant des événements du passé sur lesquels nous n’avons aucun pouvoir ou à anticiper des catastrophes qui ont peu de chances de se produire, même si on se forçait à les vivre 50 fois en imagination. Que d’énergie de perdu ! Lorsqu’on est jeune et débordant d’énergie, c’est sans grande importance. Lorsque l’énergie se fait plus rare, on peut renoncer à se tracasser pour conserver notre énergie pour ce qui est prioritaire et efficace.
 6. Ajustez bien vos attentes et vos aspirations.
Je ne serai jamais danseur de ballet ou chanteur d’opéra. Même si je le voulais beaucoup. Ce n’est pas vrai que si on veut on peut. Il faut donc réviser ses attentes et cesser de se demander l’impossible. Désirons l’accessible. Nous serons plus efficaces et plus souvent satisfaits.
 7. Développez une pensée positive et optimiste.
Cela ne veut pas dire excessivement optimiste. La souffrance et l’injustice existent. Il s’agit plutôt de se concentrer sur le mode de pensée qui a le plus de chance d’être efficace. L’anticipation du chemin qui peut nous amener vers notre but est plus féconde que l’anticipation paralysante de toutes les catastrophes qui peuvent se produire. Évitons d’obséder sur le verre d’eau à moitié vide. L’important, c’est qu’il y a de l’eau et que j’ai soif. Je peux donc satisfaire mon besoin sans perdre d’énergie à ruminer sur ce qui me manque.
 8. Soyez orienté vers le présent.
Une bonne façon de s’entraîner à sortir des ruminations du passé ou de l’anticipation craintive: se concentrer sur la satisfaction présente de nos besoins. Le plaisir d’une chaise confortable. Le bruit des oiseaux par la fenêtre. Les sensations de la marche en plein air. Le vent sur la peau. Les sensations de la nourriture que l’on aime. Le sourire de notre voisin de chambre. La lumière dans l’œil de la personne qui nous compte une histoire intéressante. Soyez là. Habitez votre vie. Maintenant.
9. Développez une relation positive avec vous-même.
Certaines personnes se traitent comme si elles étaient leur pire ennemi. Elles se disent des cochonneries. Traitez-vous comme un bon ami. Intéressez-vous à vos goûts, à vos intérêts, à vos besoins. Amenez-vous à des endroits agréables. Dites-vous des choses encourageantes. Vous êtes la seule personne avec qui vous êtes certain de passer le reste de votre vie.
 10. Développez une personnalité engageante. 
La meilleure façon d’avoir des amis, c’est d’en être un soi-même. Développez vos habiletés amicales. Développez l’art de commencer et de maintenir des conversations. Prenez des petits risques. Saluez les gens. Regardez-les. Intéressez-vous aux autres. Ils vous le rendront.
11. Soyez vous-mêmes.
La séduction ne mène pas au bonheur. Présentez une image fausse de vous-même parce que vous vous imaginez que c’est ce que les autres désirent vous piège. Vous serez obligé de fuir avant qu’ils découvrent qui vous êtes vraiment. Il vaut mieux mettre en évidence le meilleur de soi.

12. Allez chercher de l’aide au besoin.
Il faut parfois avoir l’humilité de consulter des professionnels. Quand consulter? Votre processus de changement personnel est inefficace. Vous êtes aux prises avec un problème à long terme. Vous êtes aux prises avec des problèmes qui reviennent sans cesse. Vous avez fait de son mieux pour changer. Vous avez essayé d’apprendre de vos efforts. Vous considérez le problème comme assez important pour rechercher de l’aide. Vous utilisez des stratégies inefficaces, telles que la pensée magique ou l’auto-accusation. Vous n’avez pas dans votre entourage de relations aidantes.
La lecture de ce texte ne devrait-elle pas suffire à régler tous vos problèmes? Instantanément? Pour l’éternité? Et non… Les lectures ne suffisent pas parce que le lecteur ne réussit pas toujours à les comprendre, à les appliquer ou à persévérer dans leur application.
 13. Développez vos relations intimes.
Les relations intimes sont la première source de bonheur. Sur son lit de mort, qui demande une dernière fois à voir son compte en banque? La maladie et la mort nous confrontent aux valeurs essentielles de la vie, qui sont souvent les valeurs du cœur. Cultiver ses relations intimes nous aide à mieux affronter les grands changements de la vie, les pertes et les maladies. La plupart des gens recherchent des interactions fréquentes et non conflictuelles dans un contexte relationnel marqué par l’échange et le support mutuel.
14. Valorisez le bonheur.
Vous n’aurez pas instantanément et sans effort la satisfaction complète de tous vos besoins. Mais vous pouvez, à chaque fois que l’occasion se présente, choisir l’option qui a le plus de chance de vous apporter une plus grande satisfaction dans la vie. Vous le méritez.
Texte de  par Bruno Fortin, psychologue

Références
Blondin, R. (1983). Le bonheur possible. Montréal: Les éditions de l’Homme.
Boucher, Francine (1998). Bonheur, psychopathologie et psychothérapie. Psychologie Québec, 15 (2), 17-19.
Dubé, L., Kairouz, S. et Jodoin, M. (1997). L’engagement: un gage de bonheur. Revue québécoise de psychologie, vol 18(2), p. 211-237.
Fordyce, M. W. (1997). Éducation au bonheur. Revue québécoise de psychologie, vol 18(2), p. 239-252..
Fortin, B. (2000). Côtoyer la souffrance des personnes âgées. Montréal: Fides.
Lazarus, R. S. et Lazarus, B. N. (1994). Passion & Reason. New York: Oxford University Press


lundi 3 juin 2013

Présentation de la PNL

Présentation de la PNL


Depuis toujours, je suis adepte de la force de l’esprit sur le corps, et j’ai fais mienne la citation du Talmud
« Fais attention à tes pensées; elles deviendront des mots. Fais attention à tes mots; ils deviendront des actions. Fais attention à tes actions; elles deviendront des habitudes. Fais attention à tes habitudes; elles deviendront ta destinée »
cette citation résume parfaitement la PNL
Avec ce genre de  pensée la PNL c’est donc imposée à moi, j’ai eu la chance dans ma quête de faire la connaissance du responsable de Conseil & services qui organisait une session de formation de Praticien PNL, suivie d’une session de Maître Praticien en PNL. Après un parcours intensif me voila avec deux beaux diplômes attestant que j’ai suivi avec succès ce programme de formation;
Face à l’incrédulité ou a la totale méconnaissance de la PNL, je décide de prendre mon bâton de pèlerin afin d’apporter mon éclairage sur pratique énigmatique pour certains.
Technologie de la communication et du changement, elle s’intéresse à la manière dont nous apprenons, parlons, pensons, agissons, ressentons, et nous permet de trouver les ressources nécessaires et les moyens à mettre en œuvre pour avoir des comportements plus adaptés et efficaces.
La PNL est donc utile à toute personne désireuse d’améliorer sa relation à elle-même et aux autres,
d’augmenter ses potentiels et ses capacités dans un domaine choisi,
de développer ses capacités à communiquer et / ou se libérer des blocages qui limitent sa vie.
La PNL nous apprend à avoir une approche différente et percutante de notre vie, à rechercher le positif, à apprécier nos valeurs, à modifier nos comportements, dans le plus grand respect de soi-même et des autres.
La PNL permet par exemple de
  • comprendre sa dépendance à : la cigarette, l’alcool, la nourriture…, et en sortir.
  • surmonter ses phobies : agoraphobie, claustrophobie, phobie de l’eau, de l’avion…
  • comprendre le langage du corps et trouver la signification de certaines manifestations psychosomatiques.
  • optimiser la communication avec les autres dans tous les contextes de vie.
  • …et d’autres objectifs de changement ou de travail sur des limites et blocages.
Pour ce faire, nous fonctionnons tous suivant un schéma qui repose sur notre environnement  ethnique, culturel ou familial. Cet environnement nous inculque des valeurs de façon consciente ou inconsciente, c’est notre culture et notre éducation. Ces valeurs nous servent aussi à construire nos croyances (rien à voir avec les croyances religieuses) »C’est croyances peuvent être dans certains cas aidantes, « j’ai confiance en mon destin » parfois conflictuelles, « j’aimerais bien mais… » parfois limitantes » Ce n’est pas pour moi » . Les 3 domaines les plus courants de croyances limitantes sont ceux qui concernent le manque d’espoir (ce n’est pas possible), le manque de confiance en ses capacités (je ne suis pas capable) et le manque de mérite (je ne suis pas digne de…). Ces 3 domaines peuvent avoir une influence déterminante sur la santé physique et mentale d’une personne.
Le manque d’espoir : la personne croit que, quelles que soient ses capacités, ce but est impossible à atteindre.
Le manque de capacité : la personne croit qu’elle n’est pas capable d’atteindre le but.
Le manque de mérite : la personne croit qu’elle ne mérite pas d’atteindre le but parce  qu’elle a fait (ou qu’elle n’a pas fait) quelque chose d’important.
Pour réussir les personnes doivent changer ces croyances limitantes et en particulier retrouver l’espoir pour le futur, la confiance en leurs capacités, le sens de leur responsabilité et de leur valeur personnelle ainsi que l’impression qu’elles  « font partie » (de leur famille ou de tout autre groupe important pour elle)
En résumé, on peut dire que les croyances limitantes peuvent être révisées et transformées de la façon suivante :
En identifiant et en reconnaissant l’intention positive sous-jacente.
En identifiant toute présupposition inconsciente et/ou non-verbalisée à la base de la croyance.
En élargissant la perception des chaînes de causes/effets ou « d’équivalents complexes » liées aux croyances.
En procurant les informations nécessaires pour savoir comment mettre en place les alternatives destinées à satisfaire l’intention positive ou le but de la croyance limitante.
En clarifiant ou en révisant les relations clés qui influencent les motivations profondes ou le sens que la personne a de sa mission et en lui donnant un soutien positif au niveau de l’identité.
Analyser et « décortiquer » ce qui marche, afin de trouver un « mode d’emploi » que l’on peux s’approprier facilement et reproduire .
En s’intéressant avant tout au « comment ça marche » plutôt qu’au « pourquoi ça ne marche pas », La PNL a développé des modèles simples et concrets pour décoder les compétences exceptionnelles de personnes reconnues pour leur savoir-être et savoir-faire (pédagogues, psychothérapeutes, coachs, entrepreneurs, gestionnaires, négociateurs, artistes, sportifs, etc.) et les rendre accessibles au plus grand nombre.
Cette démarche pragmatique a donné naissance à un modèle génératif de la communication, de l’apprentissage et du changement et de puissants outils d’intervention. La PNL fournit le mode d’emploi, c’est à-dire le « comment faire », pour modifier nos stratégies internes inefficaces, instaurer des changements durables en nous et chez les autres, mobiliser nos ressources personnelles et réaliser nos rêves.
L’appellation programmation neuro linguistique repose sur les trois plus importantes composantes qui structurent l’expérience humaine : le langage, la neurologie et la programmation.

PROGRAMMATION

à partir de nos expériences, nous créons des processus de fonctionnement, des habitudes, c’est à dire des façons de penser, ressentir et nous comporter.

NEUROLOGIE

nos programmations reposent sur notre capacité neurologique à percevoir, stocker et organiser l’information pour donner du sens à notre expérience.

LINGUISTIQUE

le langage permet de coder et de transcrire notre expérience par nos mots, notre manière de parler, ainsi que par notre langage corporel.
N’hésitez pas à poser des questions ou à laisser des commentaires sur vos expériences avec le PNL, je ne ferais un plaisir de vous répondre